Résumé :
|
Si Freud a pu nous livrer quelques éléments de signification à propos de sa phobie ferroviaire, liée à son arrachement de Freiberg et son voyage en train en compagnie de sa mère, il restera cependant passablement mutique quant à cet autre symptôme de sa névrose d’angoisse que furent ses moments de vertige élaborés en plaisirs de l’escalade. Les travaux de Balint concernant les frissons des jeux de vertige, appliqués à l’histoire précoce du conquistador viennois, nous permettent toutefois d’en saisir l’enracinement et le sens dans son complexe maternel et la crainte d’être lâché par son majestueux personnage.[Résumé d'éditeur]
|