Résumé :
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L'homme est mortel, ça se sait. La mort passe par le corps, défini primordialement, à tous égards, comme ' corps mortel ', à la fois savoir incontestable et troublante opacité. Cette ligne de force traverse avec une acuité croissante le grand âge. S'y oppose une ligne de vie, ' élan vital ', sous le signe de la libido (énergie sexuelle), éros (la vie même) : 'immortelle libido', rompant le ' corps-masse ' avec sa mosaïque d'éclats, et ouvrant sur le monde multiple avec son holistique du corps-espace - perspective agonique et grandiose pour le grand âge. [résumé d'auteur]
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