Résumé :
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La vie amoureuse, qui suppose « la totalité » de la force pulsionnelle, dépend de la levée du clivage du moi, qui peut être traumatique : le passage à la génitalité adulte avec l’abandon du primat du phallus et la perte des limites narcissiques provoquent une déstructuration de l’appareil psychique. « Plaisir négatif », comme tous les plaisirs élevés, l’état amoureux et sa réalisation orgastique sont apparentés au sentiment océanique par les poètes qui y voient une « connaissance » dont le modèle peut servir à la communication des esprits. [résumé d'éditeur]
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