Résumé :
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La dynamique œdipienne se double d’un espace œdipien, permettant des déplacements perceptibles dans le transfert : c’est le règne de l’Œdipe comme attracteur (M. Ody). En dehors de la névrose, quand l’espace œdipien se réduit comme une peau de chagrin, il incombe à l’analyste d’ouvrir l’espace transférentiel et de le dynamiser. Pour ce faire, l’auteur propose de concevoir le travail de l’analyste comme celui d’un attracteur transférentiel substituable à tous les objets du patient.[Résumé d'éditeur]
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