Résumé :
|
À travers une relecture psychanalytique de documents anthropologiques, étymologiques et sinologiques, nous établissons une équivalence, soutenue par l’ordre du langage et prescrite par lalangue/la lettre, entre la musique, l’écriture, le rite, la poésie, voire la danse, dans la pensée chinoise antique. De « la voix du ciel » à « la loi du texte », on entrevoit la participation du corps et sa symbolisation s’exprimant dans différents domaines. Par ailleurs, nous révélons comment des matériaux chinois de la civilisation résonnent à lalangue/la lettre qui, source primordiale de création, ne cesse de s’écrire.[résumé d'auteur]
|