Résumé :
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En s'appuyant sur des tableaux marquants de l'histoire de la peinture, l'auteur discute quelques aspects caractéristiques du vécu dépressif, qu'il aborde dans une double perspective phénoménologique et psychanalytique. Il souligne ensuite les enjeux liés à la représentation du manque et de la perte, notamment la difficulté de devoir prendre congé de l'objet perdu. Il requiert l'inscription de ce mouvement dans une relation triangulaire qui inclut les objets maternels et les objets paternels. Enfin, pour accompagner ce travail de séparation dans le transfert, il met en mots et reconnaît les noeuds traumatiques de l'histoire du sujet.
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