Résumé :
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Il y a les situations de mixité interdites, possibles, choisies, réfléchies, imposées...Il y a les approches techniques de la sexualité, réduite aux relations sexuelles : contraception, assistance technique, assistance humaine...Il y a les couples de personnes dites fragiles qui se constituent autour de l'amour et parfois de projets d'enfant qui interrogent leurs capacités de décision et de portage. Il y a l'hyper féminisation des métiers du soin et de l'éducatif, avec à la clé des stéréotypes de genre peu réfléchis et largement reproduits. Derrière tout cela, il y a le droit des usagers, et les risques permanents d'envahissement et de normalisation institutionnelle. A quand une recommandation de bonnes pratiques portant sur la ' bonne ' sexualité à la charge des institutions ? Les institutions peuvent-elles s'en mêler sans s'emmêler ? [résumé d'auteur]
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