Résumé :
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Comme le souligne le bilan du programme de prise en charge de la douleur 2006-2010, la prise en considération de la douleur chez les patients atteints d'une pathologie mentale a pris un retard important. Les raisons en sont nombreuses : multiplicité des pathologies psychiatriques ; modification des ressentis et de l'expression de la douleur pour certains patients, rendant son évaluation plus complexe, déni de la douleur somatique par les soignants de psychiatrie ; insuffisance de la prise en compte du corps en psychiatrie...[extrait du résumé d'auteur][résumé d'auteur]
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