Résumé :
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Les contacts entre les cultures et leur diversité au sein des sociétés, entraînent de nombreuses conséquences dont certaines affectent directement les dynamiques identitaires. En partant de ce constat, a été élaborée une théorie de la personnalité interculturelle, s'enracinant dans une perspective interactionniste (Goffman, 1982 ; Bruner, 1991) reposant sur le paradigme selon lequel l'Homme crée l'extériorité qui crée l'Homme. Cette réciprocité donne aux réactions psychologiques transitoires une place centrale, en soulignant que ce processus permet l'adaptation intrapsychique à l'extériorité en dessinant sans cesse les contours de la fiction identitaire du sujet.[Résumé d'éditeur]
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