Résumé :
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R. Deplanque répartit les sources de la violence des soins gériatriques entre les facteurs individuels (notamment la peur des soignants devant la mort inéluctable, les conduisant à l'indifférence ou au rejet), des facteurs structurels (défaut de valorisation et de reconnaissance du métier, surcharge de travail, incompétence professionnelle) et les effets de relation de dépendance (soumission des patients aux soignants, loi du silence s'appliquant à tous les échelons de l'équipe, des stagiaires aux cadres). Elle conclut :'Tendre à l'acceptation inconditionnelle d'autrui uniquement parce qu'il est un être humain est sans doute une tâche difficile'. [d'après le texte de l'auteur]
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