Résumé :
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Il faut replacer la théorie de la sexualité de Freud dans le souffle de l'épopée darwinienne : la libido est au service de la survie de l'espèce. La libido apparaît d'abord dirigée vers l'objet avec un conflit entre conservation de l'espèce et conservation de l'individu. Ensuite, Freud pense possible un investissement libidinal du moi et introduit le concept de narcissisme. Enfin, le conflit essentiel se déplace et se situe entre force de vie et force de mort. Une histoire de patiente donne à penser que le noyau dur de l'autisme est un défaut d'empathie et d'investissement positif de soi. Le regard d'autrui est d'une importance cruciale pour quiconque, en particulier pour les transsexuels. [Résumé d'éditeur]
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