Résumé :
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La correspondance que James Joyce adresse à Nora en 1909 témoigne d'une floraison de fantasmes pervers -scatologiques, sodomiques et surtout masochistes- chez l'écrivain. Ce qui est examiné est la place et la fonction de cette 'perversion épistolaire' pour Joyce, d'une part dans son rapport à Nora, et d'autre part en regard du projet d'artiste que Lacan a pointé chez lui comme suppléance. La thèse soutenue ici est que cette correspondance a la structure de la solution joycienne. [Résumé d'auteur]
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