Résumé :
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Les nombreuses contraintes et situations psychiquement éprouvantes auxquelles sont soumis les militaires français (conditions de vie, rythme opérationnel, scènes d'exaction, foules hostiles, engagements au combat) ont justifié l'envoi d'un psychiatre sur le théâtre de l'opération Sangaris, en République centrafricaine, rapidement après le début des opérations. Si l'activité du psychiatre est typique de la psychiatrie en situation opérationnelle, la configuration du conflit une guerre civile et ses impacts sur le psychisme des militaires de la force d'intervention ont justifié une adaptation de ses pratiques, ainsi qu'une volonté d'actualisation des compétences. [résumé d'éditeur]
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