Résumé :
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Tout comme les militaires, les photoreporters de guerre, journalistes et techniciens sont soumis aux risques d'une rencontre traumatique. Si, au sein des armées, une politique de prévention a été mise en oeuvre, ce n'est encore pas réellement le cas en ce qui concerne les organes de presse. Cependant, un certain nombre de ces professionnels vient consulter à l'hôpital militaire. Si leur symptomatologie ne présente pas de spécificités notables, d'importantes comorbidités addictives ou dépressives sont notées. Leur prise en charge reste difficile, avec une grande réticence de leur part à entrer dans des programmes de soins. [résumé d'éditeur]
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