Résumé :
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Depuis une vingtaine d'année en France, des unités d'hospitalisation mère-bébé en psychiatrie se sont spécialisées dans le soin précoce des distorsions relationnelles. Pourquoi ne pourrait on pas imaginer que ces unités aient des missions expertales dans certains cas ? Cela permettrait, lors de pathologies psychiatriques peu mobilisables rendant les mères inadaptées aux besoins développementaux des enfants, de donner des éléments cliniques précis sur lesquels pourraient s'appuyer les décisions judiciaires. Ainsi, serait éclairci pour les patientes, le cadre de certaines hospitalisations demandées par les partenaires des réseaux de psychiatrie périnatale, qui sont parfois des demandes déguisées d'évaluation [résumé de l'auteur]
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