Résumé :
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Nous avons ouvert la question de la sexualité à celle, plus large, du désir. Les maladies psychiatriques viennent interroger les balises du désir acceptable. Peut-on dès lors parler de maladies du désir? Comment la non-mixité qui caractérise notre institution nous influence-t-elle? La dynamique relationnelle y est différente. Quelles en sont les conséquences? En tant que soignants, nous sommes amenés à nous positionner par rapport à la question de la forme ou de l'absence de désir des patientes. Nos représentations et nos résistances influencent ce positionnement. Comment cela est-il abordé dans notre équipe? Nous avons confronté nos représentations et celles des patientes pour tenter de répondre à ces questions. [résumé d'auteur]
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