Résumé :
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Les dyskinésies tardives restent une complication motrice redoutée des neuroleptiques tout particulièrement chez le sujet âgé. La fréquence de survenue des dyskinésies tardives est influencée par le type de neuroleptique utilisé, la dose et la durée de prescription, et des facteurs de comorbidité. De nombreux traitements ont été proposés avec une efficacité variable. La tétrabénazine, dépléteur monoaminergique central, représente une thérapeutique de choix, sous réserve d'effets secondaires dose-dépendants. [résumé d'éditeur]
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