Résumé :
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Le transfert dans l'analyse est substantiellement excès si l'on retient le point de vue quantitatif qui privilégie la décharge affective, et l'on peut même envisager que la passion de transfert soit nécessaire pour soutenir l'investissement du processus. L'auteure évoque le cas où la passion transférentielle déborde, entraînant la cure dans une démesure qui la menace dans son projet. Cet effet tient au mauvais étayage de l'objet interne et le risque devient alors celui du transfert délirant, qui met à mal les processus de symbolisation ou vient en démasquer la faillite. [Résumé d'auteur]
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