Résumé :
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L'auteur introduit la notion de beauté, d'esthétique par un poème de Sapho, célèbre depuis l'Antiquité où Sapho définit la beauté comme “ ce qui me plaît ”. Elle passe au Pseudo-Longin qui parle du sublime et ensuite cite les travaux de Kant sur ce thème, ainsi que l'Hippias majeur de Platon. Freud est cité à propos de son travail sur Le Mo ïse de Michel-Ange, Malaise dans la civilisation, L'inquiétante étrangeté, Trois essais, Lettre à Romain Rolland. Il cite l'approche de certains psychanalystes sur le sujet de la beauté (l'emprise de la beauté), la distance nécessaire à avoir face à celle-ci. Il termine en abordant très brièvement le thème de la beauté en psychanalyse. [résumé d'éditeur]
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