JALMALV : Jusqu’à la mort accompagner la vie, 86. - 2006
Type de document : | Bulletin |
Paru le : | 01/01/2006 |
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MORT ;
Le contrat d'obsèques est une pratique qui se répand parce qu'elle répond à un désir - celui de dire ses convictions et celui de ne pas peser sur ses proches - mais il faut savoir aussi en parler à l'avance... [résumé d'éditeur]
Ce n'est pas parce qu'on improvise, comme aujourd'hui, un 'rituel' fidèle à l'image du défunt que l'on respecte la 'ritualité' nécessaire à toute société pour prendre en compte la mort de l'un des siens et faire face à la mort humaine dans toute[...]
Parler au mort, chose naturelle et nécessaire, est pourtant tellement plus simple quand on s'est dit ce qu'on avait à se dire, avant. Alors pourquoi attendre que l'être aimé soit réduit au silence pour commencer à lui parler ? [résumé d'éditeur]
Le Dr Henri Delbecque, fidèle à la Revue Jalmalv, nous communique pour ce numéro, l'analyse de deux textes réglementaires d'importance majeure pour les malades : le 3ème plan de lutte contre la douleur et l'Arrêté du 9 février 2006 relatif à la [...]
Aller voir de plus près la mort, ou ce à quoi elle ressemble, pour la sensation du risque lui-même, ou par esprit de compétition, en encore plus simplement pour goûter pleinement et de manière unique la beauté de la montagne. L. Nivet, médecin d[...]
L'auteur a déposé une proposition de loi sur le devenir des cendres après crémation qui obligerait à plus de respect pour les restes du défunt et sa mémoire. Les cendres auraient alors un statut public : la nouvelle loi empêche toute appropriati[...]
La survivance, et même la vitalité sociale d'un rite funéraire vieux de plus de huit siècles témoigne du besoin qu'éprouve la société en tant que telle de prendre la mort en compte, et même, verra-t-on, de 'prendre possession' des défunts pour l[...]
Quand on vit dans la rue, il arrive aussi qu'on y meure, et souvent de façon violente et anonyme. Le Collectif 'Les morts de la rue' témoigne de ses origines et de ses actions pour assurer aux 'personnes de la rue' des obsèques dignes de ce nom,[...]
Quand ils perdent un des leurs, les jeunes de 18-25 ans, déçus par les rites funéraires traditionnels organisent des cérémonies 'parallèles' plus fidèles à la mémoire du défunt. Ces cérémonies donnent un autre sens à cette mort et leur permet d'[...]
Le deuil rend nécessaire la conservation des traces du défunt : un lieu connu pour les proches, une identification pour le groupe social. L'évolution des rites d'obsèques, souvent plus personnalisés qu'autrefois, plus souvent aussi associés à un[...]
L'auteur donne les résultats du questionnaire AEOLI (Attitudes of Older people to End of Life Issues) qui a été soumis, en France, à deux populations d'âges différents : un groupe de personnes de 55 à 75 ans et un groupe de personnes de 75 ans e[...]
BAUDRY P ;
HANUS Michel ;
SUEUR JP ;
JULIER M ;
DELHAYE A ;
BERCHOUD J ;
ROCCA C ;
SARRAZIN B ;
NIVET L ;
CHATEL T ;
MAILLARD B
| 2006
| p. 7-53