Résumé :
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Le dépistage en santé mentale chez les mineurs incarcérés semble insuffisant. Il parait primordial d'améliorer les actions de prévention des risques liés aux consommations de substances psychoactives dans cette population. Enfin, il semble indispensable d'adapter les dispositifs de soins psychiques en détention, en favorisant différentes modalités de soins, comme les ateliers thérapeutiques. Pour ce faire, davantage considérer la dimension psychique en milieu carcéral semble nécessaire. [Résumé d'auteure]
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