Résumé :
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Le contact, figure de proue de la Gestalt-thérapie, prend des formes particulières en ces temps de lutte contre la pandémie où toute expression physique est restreinte. Ce contexte et ces limites influencent notre posture et nombre de Gestalt-thérapeutes se sentent déstabilisés. Ainsi la supervision, lorsqu’elle peut être maintenue, prend parfois des allures d’appel à l’aide et de recherche de cohérence. Cette interrogation sur le sens et la place de nos pratiques dans cet univers tourneboulé mérite notre attention et ouvre notre réflexion, à la fois sur l’évolution sociétale et sur celle de notre pratique gestaltiste. [Résumé d'éditeur]
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