Résumé :
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Construire une relation thérapeutique avec un être pour qui les mots font défaut exige de la part du clinicien des qualités de didacticien. Dans un jeu de distances fluides, porté par un transfert tidal, le thérapeutique en addiction engage le clinicien dans ses dires, ses paroles, ses mots, son être, en avant de lui-même. S’avancer, il le peut à condition de maintenir le retrait et l’ouverture nécessaires, pour que l’autre, le patient, puisse s’inscrire dans l’espace inauguré pour lui, avec lui.[résumé d'éditeur]
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