Résumé :
|
Dans cet article, l'auteur se ressaisit du postulat nietzschéen accentuant l'idée que la musique dédaigne l'intelligence pour mieux s'adresser à une subjectivité corporelle. La musique, dès lors qu'elle s'apparente comme le rock à une musica practiqua, loin d'exercer quelques effets pacifiants, sera ainsi conçue en tant qu''excitant du vouloir'. En cela, son aptitude à relancer l'activité pulsionnelle serait particulièrement précieuse pour les sujets en quête de rythmicité et de signes esthétiques aptes à réanimer une temporalisation psychique incertaine. [résumé d'auteur]
|