Résumé :
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La dipsomanie occupe parmi les conduites d’alcoolisation, une place singulière. Elle a acquis tôt, dès le début du XIXème siècle, une sorte d’autonomie clinique. Pour la première fois une conduite alcoolique suscitait de riches réflexions étiopathogéniques. (…) Beaucoup d’incertitude demeurent, des études plus nombreuses de la personnalité du dipsomane seraient nécessaires. Des études épidémiologiques permettraient de lieux apprécier sa prévalence, les troubles associés, et d’éclaircir la question discutée de son évolution vers l’alcoolisme chronique. [Résumé de l’auteur]
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