Résumé :
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Dans son traité sur l’aliénation mentale Pinel écrit : L’heureuse influence exercée dans ces derniers temps sur la médecine par l’étude des autres sciences, ne peut plus permettre aussi de donner à l’aliénation le nom général de folie, qui peut avoir une latitude indéterminée et s’étendre sur toutes les erreurs et les travers dont l’espèce humaine est susceptible, ce qui grâce à la faiblesse de l’homme et sa dépravation, n’aurait plus de limites. (…) si notre propos a pu paraitre acerbe à certains égards, cette nécessité nous était exigée afin de dégager les particularités d’une demande dont nous tenons à ré souligner comme nous le propose la statistique, sa faible incidence pour chaque praticien. Et puis, le psychiatre au-delà de l’appondissent de sa formation à la relaxation, a ce privilège de disposer statutairement de ce temps qu’exige la pratique qu’il a choisie. [Résumé de l’auteur]
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