Résumé :
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Cet article présente les données d’une recherche clinique sur la place des agirs violents sur un membre de famille dans le temps l’adolescence, en appui sur l’hypothèse selon laquelle ce type de violence témoigne de la non-résolution du conflit oedipien, et constitue une tentative de mise en sens des représentations familiales pathogènes. Un premier temps de ce travail est consacré aux apports théoriques. Un second temps s’appuie sur l’interprétation de données de tests projectifs (Rorschach et TAT) proposés à trois adolescents auteurs de violences sur un membre de leur famille, dans l’optique de proposer une compréhension des processus psychiques en souffrance chez ces sujets.[Résumé d'auteur]
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