Résumé :
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Le diagnostic d'état pauci-relationnel doit être posé avec beaucoup de précautions. L'accompagnement souvent prolongé, proposé au mieux dans des structures spécifiques, est dominé par l'incertitude de l'évolution neurologique, du vécu du patient, de ce qu'il souhaite. Le regard porté sur le patient, la convergence et la cohérence des sollicitations familiales influe sur son devenir. Le patient n'est pas en capacité de s'exprimer et le regard de la famille sur lui est un élément qui devient déterminant. [résumé d'éditeur]
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