Résumé :
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Que de postures et d’attitudes différentes et clivantes, il est loisible d’observer lorsque le sujet Finances et RH est abordé. De l’incompréhension parfois « comment voulez-vous quantifier l’inquantifiable ? », ou encore de la réaction quasi idéologique : « vous voulez réduire l’homme à une équation ? » et très souvent « mon rôle c’est l’humain, le social, pas la comptabilité ! » Et puis il y a les « pour » et les « contre » de la financiarisation des RH. Mais c’est aussi souvent une recherche, du côté RH et du côté Finances, des aspects complémentaires même si les périmètres sont différents et que ces deux visions n’ont pas le même espace-temps. En tout état de cause, qu’on le veuille ou non, l’homme et les euros sont indissociables dans l’entreprise. La rémunération, les affaires, la création de valeur, les charges, les investissements... Dès lors le DRH, dans ses arbitrages, dans ses choix, dans ses propositions, enclenche forcément des conséquences financières, des impacts sur le compte de résultat, à défaut d’avoir encore des lignes dédiées en haut de bilan. D’autre part, les relations DAF-DRH sont parfois complexes, parfois tendues et un effort proche de l’empathie est souvent nécessaire pour pouvoir imaginer une collaboration efficace. [résumé d'auteur]
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