Résumé :
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La pratique de l’humour en psychiatrie nécessite plusieurs précautions : maintenir l’alliance thérapeutique, veiller à ne pas minimiser les risques encourus par le patient, et attirer l’attention sur les excès de l’autodérision. Différentes fonctions thérapeutiques de l’humour peuvent alors être déployées : maintenir un niveau émotionnel modéré dans l’entretien, introduire de la surprise pour activer le processus thérapeutique, permettre une réinterprétation du dilemme du patient, et résoudre des paradoxes relationnels [Résumé d'auteur]
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