Résumé :
|
Nous avions connaissance de l’existence du journal de Madeleine, grâce à la publication par Guy Avanzini, en 1968, de quelques extraits dans le Bulletin de la Société Binet-Simon, mais le manuscrit entier restait introuvable. C’est à la triste occasion du décès de Géraldine Binet en 2010 que fut retrouvé dans son appartement un manuscrit de 116 pages, dont les premières pages sont reproduites ici, pour la première fois, dans leur intégralité, pour le Centenaire Binet aux Éditions de la Société Binet-Simon. Pendant quarante ans ce manuscrit aura été préservé, sinon maintenu aux secrets pour des raisons morales, alors même que son récit est moins un journal intime qu’une reconstruction idéalisée de la vie familiale: dernière de sa famille, Madeleine a voulu témoigner des mœurs d’une famille bourgeoise de l’époque.[Résumé d'éditeur]
|