Résumé :
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Chaque langue a sa manière de dire le vieillir, de nommer la vieillesse et les vieux. L'ouverture sur d'autres façons de nommer ne présente d'intérêt que rapportée aux représentations culturelles, à la perception du temps, ou encore à l'organisation sociale, notamment, à la répartition des statuts et des rôles. Le système de pensée et de comportements qui, par ailleurs, n'est fixe dans aucune société donnée, alimente et se nourrit tout à la fois, des manières de dire le vieillir. [résumé d'auteur]
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