Résumé :
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Finalement, se séparer, c'est mourir au sens où toute séparation fait revivre la disparition inaugurale de l'objet nécessaire à la survie. Pour pouvoir se séparer, il faut accomplir ce meurtre fantasmatique de l'objet mais il faut aussi être assuré de sa survie par-delà la destruction. Ainsi, la séparation nous fait vivre des vies successives : ce qui meurt se réincarne sans cesse, dans une rythmicité qui fait perdre à la mort son caractère de perte irréductible.[d'après le résumé d'auteur]
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