Résumé :
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Le corps de l’homme est ici présenté dans une de ses incarnations singulières : la déformation corporelle chez Bacon. Au-delà des discours consensuels, l’omniprésence de la déformation sera interrogée selon ses deux registres plastique et analytique. Si le premier vise le dévoilement des forces agitant la matière vivante perceptibles dans les sensations affectant la chair, le deuxième concerne le reflet distordu de l’image réfléchie interrogeant le miroir dont il est issu. Miroirs déformants qui conduisent vers celui, singulier, de Bacon révélant une identité aux prises avec le mouvement de l’informe.[Résumé d'auteur]
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