Résumé :
|
La violence est un facteur destructeur aux niveaux social, familial et individuel. Elle détruit les potentialités de construction de la subjectivité et de l'intersubjectivité et menace de manière pathologique la structure familiale. Elle nous confronte aux processus de déshumanisation, probablement de non-humanisation. L'article illustre ces idées avec l'exemple de la Colombie. Mais la violence en Colombie, malgré certaines particularités, n'est pas un fait culturel de cette contrée ; le processus est universel, car il reste de l'ordre de l'humain. [résumé d'auteur]
|