Résumé :
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Roazen rappelle que la psychanalyse, et notamment avec Sándor Ferenczi, a mis en lumière l’importance de la période infantile et des traumatismes survenus à cette époque. Dickens est l’un des auteurs qui a le mieux su faire sentir cet état de choses dans ses romans, et plus particulièrement dans son David Copperfield. Les correspondances de Freud montrent l’estime qu’il avait pour cet auteur et Roazen souligne la sensibilité de Dickens aux ressentis des enfants due en partie à son vécu infantile. [résumé d'éditeur]
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