Résumé :
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Cet article se propose d’étudier quelques moments de la période de naissance du dialogisme, apparu à la fin de la Grande Guerre, ainsi que l’interrogation des premiers auteurs du dialogisme, sur le rôle du langage et du pôle de la réceptivité, dans des situations de communication. La mise en relation du concept du dialogue avec celui de l’individu permet d’insister sur certains aspects du contexte où d’autres auteurs, à partir des prémisses comparables à celles des 'dialogistes', adoptaient des positions plus pessimistes quant à la possibilité de gérer des relations interpersonnelles par le langage. Les questions soulevées à la fin du texte souhaitent apporter quelques éléments pour une interprétation possible de la notion de surdestinataire.[Résumé d'éditeur]
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