Résumé :
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En écho avec le rapport de I. Usobiaga, l’auteure s’interroge sur une nouvelle forme de formation du symptôme qui accueille les conflits propres à l’Œdipe et à la sexualité féminine, devenant de ce fait une autre position possible du féminin dans la société actuelle. Si du temps de Freud, les hystériques défiaient la médecine, aujourd’hui seraient-elles plutôt dans son éloge ? Ne pourrait-on pas penser qu’avec les techniques médicales à visée esthétique, la limite entre les fantasmes sexuels infantiles, animés par la bisexualité, la différence de sexes et le complexe de castration est mise à l’épreuve, pour ensuite mieux être repoussée, voire déniée ?[résumé d'éditeur]
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