Résumé :
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Dans l'acception actuelle les troubles du langage 'dys' font partie des troubles instrumentaux, pour lesquels il y a l'idée d'un déficit à combler, d'un trouble à réduire ou à rééduquer selon le modèle théorique neurologique. Cette appréhension du trouble tend à réduire la complexité psychique contextuelle à l'apparition de ces troubles spécifiques des apprentissages. Déjà J-Y Chagnon soulignait l'intérêt des méthodes projectives pour une approche psychopathologique des troubles dits 'instrumentaux'. Mais dans la pratique et dans les publications scientifiques, il apparaît que le recours à la clinique projective auprès d'enfants présentant des troubles sévères du langage oral, tels que la dysphasie est très rare. [d'après le texte de l'auteur]
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