Résumé :
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Aborder l'humain non pas comme celui qui habite le monde, y travaille, le connaît, mais comme celui qui y vieillit, s'y retire, se défait de sa condition d'être, de son intér-essement. Retrait signifiant déjà, de par l'attente et la patience du temps, comme un ' après vous Monsieur ', comme une déposition du moi pour l'autre, un ' se livrer ', éthique première. La rencontre des oeuvres de Levinas, de La Métamorphose de Kafka, et de l'expérience gériatrique invitent à repenser le vieillissement à la fois comme modalité du psychisme et éveil éthique de l'homme. [résumé d'auteur]
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