Résumé :
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Tous les acteurs dans tous les pays s'accordent pour reconnaître que l'on apprend partout et tout le temps, mais personne ne s'accorde sur la valeur à donner aux acquis d'apprentissages, ni sur la pertinence de ces acquis dans tous les secteurs de la société (système éducatif, marché du travail, collectivité). L'auteur s'attache à montrer la différence essentielle qui existe entre la validation d'acquis d'apprentissages non formels et informels, et leur reconnaissance, plus exactement la reconnaissance de ce qui est attribué aux lauréats à l'issue du processus de validation. Alors que la validation est un processus technique du monde de l'éducation formelle, la reconnaissance est sociétale ; sans elle, la validation des acquis, a fortiori ceux issus d'apprentissages non formels et informels, n'est rien. [résumé éditeur]
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