Résumé :
|
La décision d'instaurer ou de poursuivre une nutrition artificielle en soins palliatifs fait intervenir une concertation interdisciplinaire qui prend en compte, entre autres, le plaisir associé au goût d'une alimentation orale, la durée prévisible de la survie et les représentations familiales de la nourriture. Cette concertation prend aussi en compte les principes éthiques d'autonomie, de bienfaisance et de non-malfaisance ainsi que le respect du principe de proportion rappelé par La loi du 25 avril 2005. [d'après le résumé d'éditeur]
|