Résumé :
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Qu'advient-il des possibilités de soins psychiques lorsque le handicap mental entrave considérablement les capacités de mise en représentation ? À cette question, se retrouvera très rapidement confronté tout clinicien voulant travailler auprès de personnes déficientes intellectuelles. Notre rencontre avec Théo, jeune adulte trisomique 21, nous montre en quoi soutenir une éthique dans la clinique de la déficience mentale c'est admettre que, quel que soit le niveau de raisonnement intellectuel, un acte de parole reste possible. Pour ce faire, il y a tout lieu de ne pas confondre les capacités de mise en représentation et le niveau de raisonnement abstrait faisant particulièrement défaut chez les personnes atteintes de retard mental.[Résumé d'éditeur]
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