Résumé :
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Cette recherche se situe dans la perspective structuraliste du noyau, pour envisager l'étude des représentations sociales. Cette étude des représentations sociales du travail et du chômage, auprès de 127 jeunes adultes (20 ans et 6 mois en moyenne), en recherche d'emploi, montre l'existence d'un impact des émotions, comme la peur, dans la structuration et l'organisation des représentations sociales. Le niveau de peur est évalué par l'intermédiaire des niveaux d'anxiété, de dépression, d'agoraphobie et de phobie sociale. La peur influence l'importance de certains items des représentations du travail et du chômage. De plus, selon le niveau de peur, le noyau de la représentation du travail diffère. Cette étude constate également l'absence de structuration de la représentation sociale du chômage. [résumé d'éditeur]
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