Résumé :
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C'est au coeur même du sujet, là où l'on pensait toucher à sa singularité, que l'on se trouve face à de l'universel. Plutôt que d'enculturation ou d'inconscient ethnique, Olivier Douville s'appuie sur l'idée d'un inconscient interpsychique, porteur du lien social en tant que vecteur de transmission intergénérationnelle. Dès lors, une réflexion sur les souffrances de l'exil prendra le chemin d'une réflexion sur le meurtre du Nom propre, symbole d'un lien entre la personne, son moi, son corps et la langue, son histoire et son voyage. [résumé d'auteur]
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