Résumé :
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Comme tout citoyen, la personne âgée est libre et bénéficie du droit d'aller et venir. Après l'échec des différentes alternatives à la contrainte et dans certaines situations de soins où celle-ci présente un comportement à risque, les soignants peuvent avoir recours à la contention physique. De la nécessité de protéger le patient ou autrui, la contention pose néanmoins de vrais dilemmes aux soignants. À quel titre peuvent-ils priver la personne âgée de ses libertés ? Quels principes de précaution encadrent cette pratique ? Où se situe le curseur dans le rapport bénéfice-risque ? [résumé d'auteur]
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