Résumé :
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De nombreux psychanalystes ont présenté des observations de patients porteurs de crypte ou de fantôme, mais l'impact institutionnel de ces prises en charge a été très peu exploré. S'appuyant sur son expérience clinique dans un centre de soins spécialisés aux toxicomanes, l'auteur explique que les institutions recèlent parfois elles aussi des « squelettes dans le placard » et montre que la pluridisciplinarité et le travail en réseau facilitent l'assimilation des ratés majeurs de l'introjection qui affligent les patients, leurs thérapeutes (par résonance contre-transférentielle) et les autres acteurs institutionnels. [résumé d'éditeur]
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