Résumé :
|
A partir de la notion de trace après automutilation, un dialogue s'instaure entre un tatoueur et un psychanalyste. Ils tentent d'abord d'évaluer les tatouages selon leur importance dans l'économie psychique de la personne tatouée, notamment à l'adolescence quant aux relations d'objet et au narcissisme. Ils forment alors l'hypothèse qu'une souffrance interne non représentable peut ainsi être amenée à l'extérieur et que, par l'excitation de la peau, la douleur et la figuration, la destructivité peut en partie se lier dans un organe : la peau. Cet organe est-il 'choisi' parce qu'il est le lieu d'un manque ? [résumé d'éditeur]
|