Résumé :
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Comment travailler sur les tatouages alors que le psychanalyste, plus que le médecin est sensé ne pas voir ni même toucher ou ausculter le corps du patient ? Comment analyser, entendre la présence de ces marquages lorsqu'ils sont seulement 'sur' ou 'sous' entendus. Les tatouages n'incarnent-ils pas de nouvelles données qui configurent une anatomie fantasmatique ? Et si les marquages du corps n'avaient de sens pour l'analyste qu'en tant que marquages du corps du rêve ? De la piqûre de l'aiguille au message adressé quand bien même il peut rester caché à la vision de l'autre le tatouage constitue dans bien des cas l'envers d'une expression qui ne peut se dire, donnant une visibilité au caché. [résumé d'éditeur]
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